Au commencement, il y eut le double dame (Catherine et Anne-Claire). Elles jouèrent, vainquirent et ça c’était chouette : que la victoire soit et la victoire fut. Et la capitaine vit que cela était bon. Il y eut un soir, il y eut un matin : premier match. (bon dans la vérité vraie, c’est la fin d’un match et le début d’un autre, mais ça fait moins « Bible »…). La Capitaine dit « qu’il y ait un second match ! » et les garçons (Michel, Tri, Eric et Sébastien) entrèrent en piste, et pour un bout de temps : deux fois en 3 sets. Et la Capitaine appela cela deux défaites. Bon d’accord mais on a fait ce qu’on a pu quand même. Ce furent les second et troisième matches.
Il y eut ensuite des simples avec surtout Anne-Claire en première ligne, qui remporta fastoche son simple. Et la Capitaine vit une nouvelle fois que cela était bon. Ensuite la Capitaine dit : « qu’on fasse jouer les hommes ». Et les hommes jouèrent mais comme nul n’est prophète en son pays, Michel ne gagna pas vraiment sur son terrain. Manu a eut une belle réaction au second set mais pas au troisième. Et la Capitaine vit que tout cela commençait à sentir mauvais (2-4) !
Et comme il y a un max de stress pour vous chers lecteurs qui voulez connaître le dénouement de cette Genèse version Musau, je vais me chercher une bière avant de vous conter la suite.
…
La Capitaine dit : « que nos dernières cartes soient abattues » et le dernier simple et mixte commencèrent. Sous des déluges de cris, de sifflets, de jurons et de gouttes de sueurs, Eric renversa avec autorité son simple pour rapporter à sa Capitaine une nouvelle Espérance en 3 sets : le match nul est-il possible ? En attendant elle vit que cela sentait un peu meilleur. Il y eut un soir il y eut un matin, enfin, je me comprends…
A ce moment, le mixte lançait son 3ème set : sous les yeux d’un public survolté, Tri et Catherine eurent vite fait de prendre un avantage clair au score et de le conserver jusqu’au terme du 8ème match. Et la Capitaine se dit : « Que cela est bon, de faire match nul et de rester premier de notre poule ! »
Telle fut l’histoire épique de cette rencontre au sommet.
Sébastien